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Mon chien a mordu : que faire ? - par sonicfrance le 15/09/2013 @ 21:05


Mon chien a mordu : que faire ?

 


Qu’il s’agisse de l'agression de personne ou d’un autre animal par un chien, il est toujours plus aisé de se fixer une ligne de conduite à tenir en cas de problème avant d’y être confronté et de devoir agir dans l’urgence, aux dépens du bon déroulement des choses.
En souhaitant bien entendu que vous ne soyez jamais confrontés à une telle situation, nous allons malgré tout vous indiquer les grandes lignes à suivre si votre animal est impliqué dans un accident ou provoque un quelconque dommage.

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Comment réagir ?

La première des choses à faire est de stopper l’agression si tel est le cas, sans compromettre votre propre santé.

Vous devez ensuite rassurer la (les) victime(s), qu’il s’agisse d’une personne ou d’un animal, et tenter d’estimer le caractère urgent des soins à apporter à la (les) victime(s). Contactez alors rapidement les pompiers, le Samu, ou un vétérinaire en fonction des besoins et des victimes concernées.
La gendarmerie ou la police peuvent également être averties à ce moment.

Peu de vétérinaires se déplacent sur les lieux d’accidents, sauf cas particuliers et nécessité absolue. Mais dans tous les cas, afin que votre accueil soit préparé et que vous soyez pris en charge le plus rapidement possible, prévenez le vétérinaire de votre venue en urgence (si urgence réelle il y a).

Avant de quitter les lieux de l’accident, échangez les coordonnées des personnes impliquées dans l’accident ou susceptibles de l’être (responsables et victimes), et recueillez celles des témoins éventuels.

Une fois l’urgence passée, n’oubliez ensuite pas de déclarer sinistre à votre assurance du responsable le plus rapidement possible (sous 5 jours maxi, les délais parfois plus courts sont à vérifier sur votre contrat) en recommandé avec accusé de réception.

Nous vous conseillons malgré tout de contacter votre assurance préalablement par téléphone, le plus rapidement possible :  la marche à suivre et les pièces nécessaires à la bonne constitution du dossier vous seront alors indiquées avec précision.

S’il y a eu morsure ou griffure de personne, l’animal mordeur, quel que soit son statut vaccinal (vacciné ou non contre la rage en particulier), devra dans tous les cas être impérativement présenté à un vétérinaire sanitaire lors de trois consultations : la première dans les 24 heures suivant la morsure ou la griffure, puis au 7ème et au 15ème jour après l’accident. A cette occasion, le vétérinaire établira des certificats stipulant que l’animal est indemne de signe de rage.
(cf Arrêté du 21 avril 1997 relatif à la mise sous surveillance des animaux mordeurs ou griffeurs visés à l'article 232-1 du code rural)

Notez que pendant toute la période de surveillance sanitaire (15 jours), l’animal ne pourra être euthanasié (sauf circonstances bien particulières, nécessitant des examens complémentaires par la suite, pour pallier au non respect de la période de surveillance de 15 jours visant à s’assurer de l’absence de rage chez l’animal responsable). Si l’animal venait à décéder pendant cette période, le vétérinaire sanitaire devra en être immédiatement averti et vous indiquera la conduite à tenir.

 

Qui est responsable ?

A qui revient la responsabilité si votre chien (ou votre chat d’ailleurs) provoque un accident (même s’il en est lui-même victime), dégrade du matériel, mord ou blesse une personne ou un congénère ?

La loi est claire : l’article 1385 du code civil énonce que « le propriétaire d’un animal ou celui qui s’en sert pendant qu’il est à son usage, est responsable du dommage que l’animal a causé soit que l’animal fut sous sa garde, soit qu’il fut égaré ou échappé ».
Au sens juridique, le gardien est donc le propriétaire du chien. Ce dernier reste donc responsable, même si son chien s’est sauvé et a ensuite été impliqué dans un accident ou a commis des dégâts.

Si votre animal est confié à une tierce personne au moment des dommages, c’est alors en théorie à lui qu’incombera la responsabilité de l’animal.

La victime n’a en principe pas à prouver la faute de l’animal, il lui suffit simplement de déclarer le préjudice engendré par l’animal. Notez malgré tout que des cas particuliers peuvent exister, et le propriétaire pourra être exonéré de cette responsabilité s’il peut démontrer l’existence :
• d’un cas de force majeure.
• du fait d’un tiers.
• de la faute de la victime.
• du rôle passif de l’animal.

 

Quelles assurances dans de tels cas ?

Nous attirons votre attention sur le fait que dans le cas de dommages causé à autrui, il ne s’agit pas ici d’assurance santé animale, mais d’assurance responsabilité civile. En général, vos animaux domestiques (sauf chiens de 1ère et 2ème catégorie) sont couverts gratuitement par l’intermédiaire de votre assurance multirisque habitation. Bien que cela soit souvent automatique, chaque assureur peut établir des clauses précises restreignant la responsabilité civile des animaux du foyer, ou fixant par exemple une franchise en cas de dommages causés par l’animal.

Dans tous les cas, nous vous conseillons vivement de contacter votre assureur, afin de savoir si votre animal est bien couvert, et quels sont les clauses particulières le concernant s’il y en a.

De même, si vous devez garder un animal ou confier votre compagnon à quelqu’un, nous vous invitons à contacter les assurances des deux parties, afin de vous assurer qu’au moins l’une des deux prend bien en charge l’animal pendant la durée de garde.

Prêtez également une attention toute particulière aux cas de gardes rémunérées, où c’est la responsabilité civile professionnelle du gardien qui intervient alors en général.
Sachez enfin que pour les chiens de première catégorie, la souscription à un contrat de responsabilité civile spécifique est une obligation légale. Pour cela, contactez votre assureur pour savoir s’il propose ce type de contrat.

 

Il faut bien penser…
En cas de sinistre, n’oubliez pas :
-    De faire établir et bien conserver toutes les factures (médecin, vétérinaire, pharmacien, réparations, …) établies pour justifier des frais générés par l’accident.
-    De faire un bon dossier avec les déclarations des victimes, responsables, témoins…
Et n’hésitez en aucun cas à vous faire encadrer par votre assureur, qui en a l’habitude et saura vous seconder dans vos démarches.

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Les principales formes d'agression chez le chien - par sonicfrance le 15/09/2013 @ 20:53

Les principales formes d'agression chez le chien

 

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La période de socialisation du chien se situe entre 2 et 3 mois

Suite aux problèmes d’agressivité de chiens classés dans les catégories dangereuses ou non, il est important de prendre conscience que l’éducation d’un chien doit être effectuée sérieusement. Sans prôner une éducation quasi-militaire, certaines règles doivent être respectées pour pouvoir vivre sereinement avec son chien.

En effet, qu’un chien soit soumis à la loi 99-5 du 6 janvier 1999 (loi sur les chiens dangereux) ou qu’il appartienne à toute autre race, il peut présenter une agressivité plus ou moins dangereuse. Un chien devient agressif dès qu’il menace, pince, mord ou même attaque un individu.
Un chien qui grogne prévient, mais certaines agressions deviennent systématiques (ritualisées), le chien mord, ou attaque soudainement sans prévenir.
 


Les types d'agression

Attention !! Certains animaux sont dressés pour défendre un territoire et donc attaquer. Il faut donc être prudent sur les limites de l’agression. Dans ce cas là, l’agression est-elle normale ? De même, l’agressivité d’un chien dérangé dans son panier est-elle légitime ?

Voici les principales formes d’agression chez le chien :

  • L’agression prédatrice : C’est le cas des chiens dressés pour attaquer. Ils n’ont jamais été socialisés, ils n’ont jamais eu de contact avec les humains et les autres espèces (même les autres chiens) et donc ne les reconnaissent pas. Cette agression est aussi recherchée pour la chasse.
     
  • L’agression par peur : elle se produit quand le chien est grondé ou puni par ses maîtres ou lorsqu’il est approché ou touché par des inconnus et qu’il ne peut pas s’échapper. S’il en a la possibilité, il va fuir après la morsure. Il peut grogner, aboyer avant le passage à l’acte.
  • L’agression territoriale : le chien défend son territoire. Ce phénomène se produit lorsque le chien se considère comme le dominant dans la famille.
     
  • L’agression hiérarchique : les menaces et les morsures sont orientées vers les membres de la famille mais le chien peut être amical envers les étrangers. Cette agressivité est aussi liée au statut hiérarchique dans la famille.
     
  • L’agression par irritation (très fréquente) : si le chien est frustré, il attaque. Cela arrive lorsque le chien a mal, est anxieux, est hypersensible…

 

Les causes des agressions

Des troubles du comportement peuvent expliquer les agressions et il est important de les prendre en charge rapidement avec l'aide d'un vétérinaire comportementaliste :

  • une sociopathie ou trouble de la hiérarchie explique la plupart des agressions hiérarchiques et/ou territoriales
  • une phobie peut expliquer une agression par peur : par exemple la phobie de certains bruits comme la phobie du bruit du tonnerre peut rendre un chien agressif pendant les orages
  • un syndrome de privation (résultant d'une hypostimulation du chiot pendant les 2-3 premiers mois : exemple des chiots élevés dans de très mauvaises conditions) peut également expliquer une agression par peur (phobie sociale, etc...) ou une agression prédatrice


A savoir : La période de socialisation du chien se situe entre 2 et 3 mois, il est alors nécessaire de permettre au chiot de faire le plus de découvertes possibles (foule, enfants, bruits, autres espèces…). Tout ce que le chiot rencontrera à cette période sera considéré comme normal pour lui, à condition d’entretenir cette socialisation. Toutefois, il est possible pour un chien d’être socialisé en prenant certaines précautions : il faut habituer le chien très progressivement en le récompensant dès qu’il améliore son comportement. Votre vétérinaire pourrait vous prescrire un traitement permettant que votre chien adulte soit socialisé plus facilement.
La socialisation permet de limiter les agressions prédatrices et par peur. Alors, promenez votre chien dans divers endroits, faîtes-lui rencontrer des gens et des chiens dès son plus jeune âge.

Attention : Lorsque vous achetez un chiot, choisissez votre élevage !
Il faut faire attention à ce que les chiots n’aient pas été séparés trop tôt de leur mère et de leur fratrie. N’adoptez jamais un chiot de moins de 8 à 10 semaines. Demandez toujours si les petits sont encore avec leur mère ou non, à voir les parents, la mère surtout.
Certains chiots peuvent présenter un syndrome de privation car l’élevage était à la campagne, au calme et ils n’ont jamais connu la ville avec ses bruits, sa circulation… Ils ne sont pas socialisés à la ville.
Parfois les éleveurs habituent les chiots aux bruits, aux voitures, aux chats, aux enfants… la socialisation n’a plus qu’à être maintenue.
 

Conseils d'ordre général

Dans la rue, lorsque vous croisez un chien inconnu : Tous les chiens ne sont pas dangereux, mais il suffit de respecter quelques règles :

  • Ne caressez pas un chien inconnu, il peut être agressif par prédation ou par peur.
  • Ignorez le chien au maximum ! S’il est bien socialisé, il ne devrait pas se sentir agressé et réagir.
  • Ne regardez jamais un chien dans les yeux, c’est un signe de défi. Regardez-le sur la croupe !

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Le Chien et l 'Enfant - par sonicfrance le 15/09/2013 @ 19:36

Avoir un animal dans la famille est un vrai bonheur et a beaucoup d’avantages à la fois pour votre enfant et pour vous. Comment faire en sorte que tout se passe au mieux ? Voici quelques règles simples à bien respecter pour éviter les dérives comportementales résultant de troubles de la hiérarchie.

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Les bienfaits de l’animal pour un enfant

Il est reconnu qu’avoir un chien a des bénéfices physiques en nous faisant bouger, sortir pour le promener mais les bénéfices sont aussi psychologiques et notamment sur les enfants.

Plusieurs études ont montré que le fait d’avoir un animal facilite chez le jeune enfant les contacts et les interactions avec les autres.

Le chien est donc un élément moteur de communication, de socialisation et d’intégration sociale. Il permet de s’ouvrir aux autres.

Le chien peut également servir à canaliser l’hyperactivité, l’agressivité, il favorise l’apprentissage de l’organisation en famille.

Chez les adolescents, l’animal peut éviter le repli sur soi et la dépression, il encourage la maturation psycho-affective.

 

Comment placer votre enfant par rapport au chien dans votre famille

Avant de commencer il est important de comprendre qu’un chien ne raisonne pas comme nous, il est incapable d’interpréter, d’analyser des situations ou des faits dissociés dans le temps. Ainsi on ne parle pas de jalousie, le chien ne ressent pas ces sentiments, mais simplement des émotions. Le chien vit dans un monde régi par les règles de hiérarchie, s’il conteste quelque chose, il tente de faire respecter les règles telles qu’il pense qu’elles sont établies.

Il est donc important que vous soyez le chef de meute de votre famille, mais il est aussi important que votre enfant soit dans une position hiérarchique supérieure à celle de votre chien.

N’hésitez pas à souvent caresser votre chien lorsque vous portez votre enfant dans les bras, vous placez ainsi votre enfant en hauteur par rapport à lui, cela renforcera  sa position hiérarchique.

Associez toujours vos enfants aux activités préférées de votre chien comme le jeu, ainsi il appréciera d’autant plus la présence des enfants car elle signifie de passer un moment agréable.

Si vous devez réprimander votre enfant pour quelque chose qu’il a fait en présence du chien, ne le faites jamais devant l’animal. Faites d’abord quitter la pièce au chien et expliquez-vous avec votre enfant ensuite. Il ne faut pas que le chien soit tenté de jouer un rôle « éducateur ».

Si vous devez réprimander votre chien et que votre enfant est présent, placez toujours votre enfant à côté de vous : il faut faire bloc, comme une coalition, cela renforce l’autorité et la place de chacun.

 

Il ne faut jamais laisser un bébé ou un jeune enfant seul avec un chien, l'un ne contrôle pas encore bien ses mouvements ou ne connait pas encore le langage du chien et l'autre reste un animal avec des réactions qui peuvent être primitives même si son intention n'est pas de nuire à l'enfant.

Il ne faut pas accepter que l'enfant considère le chien comme un jouet, il ne faut pas tolérer les taquineries, qui peuvent provoquer, même si l'intention de l'enfant n'est pas mauvaise, une réaction d'agacement de la part du chien.

Ne jamais laisser l'enfant aller déranger votre chien lorsqu'il est calme dans sa zone de refuge (son couchage, panier, coussin ou couverture), cette intrusion serait incompréhensible, il est absolument primordial que cette zone de refuge soit respectée. Il ne faut pas non plus que l'enfant dérange le chien pendant qu'il mange.

De même il ne faut pas laisser le chien dormir avec l'enfant dans sa chambre ou son lit.

 

Le risque zéro n'existe pas, rappelez-vous que la plupart des morsures sur les enfants sont faites par le chien de la famille en qui les parents avaient une entière confiance... Il n'y a pas de race plus adaptée à vivre avec des enfants, les femelles en sont pas non plus plus douces que les mâles avec eux... Il n'y a pas de règles, mises à part celles de la hiérarchie de la meute familiale.

Les grandes règles de hiérarchie (voir notre fiche correspondante) doivent être expliquées à tous les membres de votre famille, aux enfants dès qu’ils sont en âge de les comprendre afin qu’elles soient les mêmes pour tous et que le chien ne soit pas perdu.

 

Le chien sans enfant

Si vous avez un chien, que vous n'avez pas d'enfant, il se peut que votre chien soit amené à en rencontrer, lorsque vous le promenez ou chez des amis, de la famille.

Voici donc quelques conseils pour éviter tout risque :

- rappelez votre chien, il doit rester à vos pieds afin que vous puissiez garder le contrôle sur lui

- restez toujours vigilant : un enfant ne contrôle pas toujours bien ses gestes et votre chien peut avoir des réactions de peur (primitives et imprévisibles)

- les aires de jeu pour enfants ne sont pas un terrain de jeu pour les chiens, il n'est pas nécessaire de les éviter mais votre chien devra être gardé en laisse

- ne laissez jamais votre chien aller et venir à sa guise à l'extérieur de chez vous : il est sous votre responsabilité, s'il se passe quoi que ce soit, c'est vous qui en serez responsable.


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Hierachie - par sonicfrance le 15/09/2013 @ 18:50

Le chien est un animal qui vit naturellement en meute et l’organisation d’une hiérarchie est obligatoire et nécessaire.
C'est au moment de la puberté que la hiérarchie s’établit. En effet, à partir de l’âge de 6 mois, certains chiens testent l'autorité hiérarchique de leurs maîtres. Si vous n’avez pas déjà instauré les bonnes habitudes pour vous placer en « dominant », c’est le moment de vous affirmer.

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Le chien dominant

Votre chien vit dans une meute, c’est votre famille. S’il est dominant il se considère comme le chef de meute et se comporte de manière à vous protéger, il vous surveille donc.

Les principaux repères du chien sont divisés en 4 types :

-    La gestion de l’espace : le chien dominant contrôle les allers et venues de chacun, il se place aux endroits stratégiques, ou en hauteur, il vous suit tout le temps… Il peut aussi grogner et vous empêcher d’avoir accès à certaines pièces (exemple du chien dominant qui grogne lorsque Monsieur veut rentrer dans la chambre alors que Madame est déjà couchée). Il contrôle également l’accès des personnes étrangères à la meute (cas du chien qui aboie à l’arrivée d’invités ou de personnes extérieures : facteurs, passants, etc…).

-    L’accès à l’alimentation : le chien dominant mange en 1er, avant tout le monde et quand il le souhaite, il a libre accès à la gamelle et mange devant les autres (cas du chien qui ne veut manger qu’en présence de ses maîtres ou du chien qui mange quelques croquettes puis laisse le reste de sa gamelle pour plus tard…).

-    L’initiative des contacts et des activités : de chien dominant décide de ce qu’il veut faire quand il le veut. C’est le chien qui vient réclamer des caresses, qui vient demander à jouer, qui apporte sa balle pour qu’on lui lance, qui réclame à sortir, etc…

-    L’accès à la sexualité : il s’agit ici de démonstrations à caractère sexuel, le chien qui lève la patte pour uriner chez vous ou qui chevauche un jouet, une peluche devant vous ou qui chevauche votre jambe…

Un chien peut tout à fait être dominant en ne présentant qu’un ou certains de ces caractères.

La dominance chez le chien est à prendre au sérieux car elle peut avoir de graves conséquences : agressivité (grognements, aboiement…) pouvant aller jusqu’à la morsure.

 

Les solutions : les règles de hiérarchie

Comment vous placer en dominant de la meute et replacer votre chien à sa place de dominé ?

Il est important que votre chien comprenne qu’il n’est pas le dominant de la meute mais que c’est vous le maître. Ainsi il sera plus équilibré et moins anxieux, en effet c’est la place de dominant qui est la plus stressante pour un chien.

Si vous avez l’impression que votre chien a déjà pris des prérogatives de dominant il est important de le rééduquer au plus vite et d’effectuer une régression sociale.

Il faut respecter certaines règles et il est important que ces règles soient appliquées par tous les membres de votre famille.

Il faut tout d’abord délimiter son territoire : votre chien doit dormir dans un coin isolé, qui ne se trouve pas dans un lieu de passage (d’où il pourrait contrôler les allers et venues de chacun) et qui ne soit pas ni sur votre lit avec vous, ni même dans votre chambre. Il doit dormir par terre dans son panier qui est à lui, pas en hauteur (le canapé est interdit également donc).

Lorsque vous recevez des personnes chez vous, il faut vous placer en premier pour les accueillir, repousser votre chien s’il se met dans le passage, l’envoyer dans son panier.

Votre chien doit manger après vous, donnez-lui à manger après votre repas et ne lui donnez rien pendant que vous êtes à table. Posez-lui sa gamelle dans un coin de la cuisine et quittez la pièce pendant qu’il mange. Revenez un quart d’heure après pour lui retirer, même s’il n’a pas fini. Votre chien recevra un ou deux repas par jour à heure plus ou moins fixe, quand vous l’aurez décidé, il ne doit surtout pas pouvoir avoir accès à sa gamelle toute la journée.

C’est vous qui devez prendre l'initiative des jeux et des câlins. Votre chien doit comprendre que vous n’êtes pas à sa disposition et que vous ne répondrez pas systématiquement à toutes ses demandes d’attention. N’hésitez pas, par contre, à aller souvent vers lui de votre propre chef.

Si votre chien vous chevauche ou chevauche quelqu'un de votre famille ou un invité, il ne faut surtout pas le laisser faire. Il faut l'interrompre et l'envoyer dans son panier.
Si votre chien a ce comportement avec un objet (peluche, etc...), il ne faut pas qu'il le fasse devant vous, de la même manière il faut l'envoyer dans son panier et quitter la pièce.

 

Il est bien entendu que ces règles sont plus faciles à appliquer dès le début lorsque le chien est jeune. Si votre chien a plus d'un an et qu'il a ce genre de comportement, rien n'est perdu, n'hésitez pas à vous faire aider par un professionnel : votre vétérinaire ou bien un vétérinaire spécialisé dans le comportement que votre vétérinaire vous conseillera.

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good news - par sonicfrance le 14/09/2013 @ 13:18
 

Alerte - par sonicfrance le 14/09/2013 @ 12:48
 

Gallak - par Sonicfrance le 04/08/2013 @ 09:41

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Abandon - par sonicfrance le 23/07/2013 @ 10:01

Ne faite pas cuire votre chien - par sonicfrance le 23/07/2013 @ 09:13

Bien le faire boire pendant l’été - par sonicfrance le 03/07/2013 @ 00:56
Bien le faire boire pendant l’été
On estime qu’un chien doit boire tous les jours en moyenne 50 à 70 ml d'eau par kg, soit environ 1 litre pour un chien d’une quinzaine de kg. Cette fourchette varie cependant sous l’influence de nombreux facteurs. En été, un chien peut facilement boire jusqu’à 100 ml d’eau/kg/jour.

Les risques liés à la déshydratation
Un chien qui se déshydrate se fatigue très vite. Il aura du mal à vous suivre en randonnée et il risque de payer cher les efforts qu’il fera pour vous suivre. Paradoxalement, la déshydratation peut réduire la sensation de soif. Si vous ne l’abreuvez pas régulièrement, votre chien risque de refuser de boire quand il en aura le plus besoin.

A l’extrême, votre chien risque de faire un coup de chaleur qui peut être fatal. Les signes annonciateurs du coup de chaleur sont faciles à détecter : faiblesse, difficultés respiratoires, vomissements, diarrhée, gencives devenant rouge vif, agitation, tremblements…
 

Rythme idéal d’abreuvement
L’idéal est que le chien ait en permanence accès à une source d’eau fraiche et propre pour qu’il puisse aller boire de lui-même dès qu’il a soif. Mais lorsqu’on voyage ou que l’on se promène avec son chien, la situation se complique.

Un arrêt toutes les 2 heures lors d’un trajet en voiture est un minimum.
Pendant une randonnée, adaptez l’abreuvement à la difficulté du parcours. Ne faites pas confiance à d’éventuels points d’eau que vous rencontrerez sur le chemin. Prévoyez une réserve suffisante dans votre sac ou sur votre vélo, ainsi qu’un récipient adapté pour lui donner à boire. Pour les grands chiens, il existe même des sacs à leur faire porter sur le dos, contenant un réservoir souple à l’intérieur !

Encourager un chien à boire
En été, changez l’eau au moins deux fois par jour. Servez l’eau dans une gamelle en verre, en métal ou en faïence plutôt qu’en plastique, qui fixe les odeurs. Si votre chien ne boit pas assez, vérifiez la qualité de l’eau que vous donnez. Elle a peut-être un goût qu’il n’aime pas.

Autres moyens de le rafraîchir
Un chien aime se coucher dans un endroit frais. Si possible, laissez-lui accéder à une pièce carrelée et bien aérée. A l’extérieur, vérifiez qu’il peut se coucher à l’ombre.

En voyage, emportez un brumisateur avec vous et humidifiez son pelage régulièrement. Vous pouvez aussi le frotter avec une éponge imbibée d’eau froide ou le couvrir avec un linge mouillé.

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